Valérie – [gueule(s)!]

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« Le masque déshumanise la relation et pose un climat anxiogène dans lequel les enfants et les adolescents doivent grandir et s’instruire, malgré tout. »
Valérie, directrice d’une école et garderie privée, Lausanne

Valérie est la directrice d’une école et garderie privée à Lausanne. Elle a souhaité témoigner du quotidien vécu dans son établissement en posant avec Victor, né durant le premier confinement et qui fréquente aujourd’hui la garderie; le masque pour enseigner, le masque pour éduquer, le masque pour partager le quotidien des enfants et des élèves. Et la « déshumanisation » de son métier et celui de toutes ses équipes.

Au cours de la discussion, Valérie souligne notamment deux aspects primordiaux d’un milieu scolaire / pré-scolaire que le virus a totalement chamboulé: la relation avec les bébés et les jeunes enfants à qui l’on impose de grandir entourés de gens masqués chez qui, entre autres, les émotions sont plus difficilement décelables; et la relation avec les parents où il existe autant de sensibilités que de personnes différentes; là où certain(e)s aimeraient que les masques tombent dans l’école, d’autres seraient plus à l’affût du moindre signe potentiellement annonciateur du virus.

Valérie, qui se veut toutefois positive et rassurante, ne manque pas de souligner son gros coup de coeur en cette période si particulière: les adolescents et jeunes adultes. « Alors qu’ils sont totalement conscients de la situation et du peu de risques qu’ils encourent à leur âge avec ce virus, aucun adolescent n’a jamais remis en question le port du masque dans l’établissement. Je trouve qu’ils font preuve, à leur âge, d’un altruisme extraordinaire! »

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